Elle est reconnue à juste titre comme une des clefs nécessaires au maintien de la santé. Et pourtant, par méconnaissance ou manque d’attention, il n’est pas rare qu’elle engendre des traumas plus ou moins importants, parfois récurrents voire même un vieillissement prématuré. Voici quelques conseils pour éviter les écueils afin qu’elle vous apporte les meilleurs bénéfices.

Progressivité dans l'intensité et la durée des efforts :

Quand le jardin se rappelle à vous pour être travaillé, une longue journée à bêcher peut faire bien des dégâts (tendinite, douleurs articulaires). Il vaut mieux commencer en douceur tout en variant les activités pour mobiliser le corps différemment. Si on prévoit de faire de la randonnée pendant ses vacances, il est aussi souhaitable de s’entraîner à petite dose avant de partir.

Respecter son âge et sa condition physique :


Si l’activité physique est recommandée à tout le monde, il est impératif de l’adapter à son cas personnel (condition physique, antécédents de santé, …). Et aussi reconnaître que le corps ne récupère pas aussi rapidement quand on avance dans l’âge.

Préparation avant l’effort :

Si vous avez d’ores et déjà des zones de faiblesses ou bien si vous prévoyez une activité prolongée, l’huile de massage à l’arnica sera intéressante car elle prépare et échauffe les muscles et les articulations que vous allez solliciter.

Récupération après l’effort :

L’activité musculaire génère de l’acidité. Si on aide l’organisme à la neutraliser, on améliorera la récupération et on évitera plus facilement les courbatures, crampes et tendinites. Pour ce faire on peut prendre des compléments alimentaires alcalinisants au repas qui suit l’activité physique, voire aussi prendre un bain de pied au bicarbonate de soude (2 cuillères à soupe pour une petite bassine d’eau) qui aura de plus un effet délassant et, accessoirement, anti-mycose (les mycoses aiment l’acidité !)

Alimentation/hydratation :


Évitez de commencer une activité physique l’estomac plein. Le sang va prioritairement aux muscles, votre repas serait ainsi mal digéré (risque de diarrhées pour les sportifs). Par contre si l’effort dure longtemps il faut veiller à bien s’hydrater et à amener un peu de carburant pour nos muscles (ex : fruits secs, pâte d’amande, nougat, …). On peut aussi prendre une « boisson de l’effort » ; il existe des préparations prêtes à l’emploi mais si on le souhaite, on peut aussi en faire soi-même (*)

Compléments alimentaires :

= Neutraliser l’acidité : (c’est l’axe à retenir vu les dégâts qu’elle peut engendrer)  à l’aide d’un complexe alcalinisant, bicarbonate de soude, chlorophylle (augmente aussi l’oxygénation du sang en tant qu’équivalent végétal de l’hémoglobine)

= Soutien des articulations : collagène pour leur structure, acide hyaluronique pour les lubrifier mais aussi silice buvable et/ou gel pur ou additionné d’huiles essentielles anti-inflammatoires

(ex : gaulthérie, eucalyptus citronné) à appliquer sur les zones douloureuses.

= Soutien des muscles : protéine de riz ou de petit lait car riche en BCAA important pour la régénération musculaire, spiruline, huile ou gel de massage

= Antioxydants : vitamine C, coenzyme Q10 qui est naturellement présente dans le corps mais dont le taux baisse avec l’âge : elle améliore la production d’énergie donc le tonus et améliore la santé musculaire (dont le cœur !)

= Anti-inflammatoire : omégas 3 et 6, curcuma, boswéllia, reine des prés, macérat de bourgeons de cassis.

Il y a beaucoup de choix ! D’où l’importance d’être conseillé pour trouver le(s) produit(s) ou conseil(s) alimentaire(s) qui vous seront le mieux adaptés pour que vos activités restent un plaisir des plus profitables.

 

(*) dans votre bidon d’eau ajoutez une à deux ampoules d’eau de mer (92 minéraux et oligo-éléments !), un peu de sucre complet et/ou miel d’acacia (riche en fructose naturel), et, à l’idéal ou pour les sportifs : rajoutez de la protéine de petit-lait pour la régénération musculaire) ainsi qu’un peu de sels minéraux alcalins.